Ellene fait pas le bonheur du peuple, mais elle l' élève au-dessus de nations plus riches et plus heureuses. L' homme ne vit pas seulement de pain. Un grec qui n' a rien à mettre sous la dent déjeune d' une discussion politique ou d' un article de journal » (Edmond About, La Grèce contemporaine. Paris : Hachette, 1854 = 1858, p. 251).
R. Père Hamon – L’homme ne vit pas seulement de pain matériel, il faut à sa noble intelligence une nourriture plus élevée, le pain de la vérité sans ce pain, l’intelligence se meurt, l’homme devient l’égal de la brute. Aussi Jésus-Christ nous en a admirablement pourvu. Tandis que les plus grands génies de l’antiquité, après de longues études, ne savaient que penser de la nature de Dieu et de sa providence, des destinées futures de l’homme et de la règle de ses devoirs, la parole de Jésus-Christ nous nourrit dès l’enfance des doctrines de la plus sublime théologie. CLIQUER et lire la suite Les attributs divins nous sont révélés ; les secrets de notre vie future montrés au grand jour ; les plus hautes vertus enseignées ; les voies de la perfection ouvertes ; le soleil de justice brille pour nous de tout son éclat. Apprécions un si grand bienfait en nous comparant avec les peuples qui en sont privés, et prenons garde d’en abuser en ne conformant pas notre vie à notre foi. HAMON MEDITATIONS TOME 1 HAMON MEDITATIONS TOME 2 HAMON MEDITATIONS TOME 3
L'homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute Parole venant de la bouche de Dieu" (Mt 4,4) "Seigneur, enseigne-moi tes voies, fais-moi connaître ta route" (Ps 24 liturgie) "Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle" (Mt 1,15) Ces Paroles extraites de la liturgie de ce Premier dimanche de Carême, peuvent
ZOOOOOOOOM•Une visite commentéepar Nathalie Esterman,médiatrice culturelle-Samedi 27 avril 2013 de 14h à 15h. Visite ludique pour découvrirl’exposition en rendez-vous, visites guidéespar la médiatrice culturelle,pour particuliers ou les visites guides guidées,inscription obligatoire. 04 90 44 89 90Les 27 et 28 avrilBALADES ARTISTIQUESET GOURMANDES DANSLE CADRE DU GR2013Pour ce week-end d’exploration,un collectif d’artistes marcheurspropose des œuvres éphémèressur le tracé du GR2013 jeude balades, collectesd’impressions, dispositifscartographiques artistiques etinnovants… Durant ce tempsfort, chacun pourra les suivredans cette approche renouveléedu territoire avec les acteurslocaux, la Fédération Françaisede Randonnée Pédestre et sonextraordinaire réseaud’associations. Une série demarches atypiques et artistiquespour découvrir le territoirecomme vous ne l’auriez 27 avrilPromenades avec les artistesmarcheurs-"Monographie Gaston Jaubertarchitecte ", départ 10h, de lagare SNCF et départ 14h, del'Office de animée par NicolasMemain. Formé à l’architecturedu XX ème siècle, ce montreurd’ours en béton et spécialistede l’improvisation 3h. Tout public,adapté se perdre sur unGR“, départ 14h, de la placedes touriste de MathiasPoisson met en pra tique descarnets de voyage de l’erranceré cits retournés, bureaux deplein air....Durée de la balade public, adapté départ 14h,parking du cimetière des animée par LuceMoreau. Grâce à ses compliceset un savant jeu de miroirs,Luce Moreau fait découvrir auxmar cheurs d’étranges imagesdans le de la balade 2 € la obligatoire à l'officede tourisme Tél. 04 90 56 27 6036ZOOOOOOOOMPoints d'accueil GR2013Ouvert de 10h et 17h,place des Centuries.•Un salon "écoute despromenades sonores".Écoute au casque à partir devotre télé phone ou de votrebaladeur des créations sonoresspécialement conçues pour lespay sages du GR.•Paysages photographiquedu paysage, de Geoffroy Mathieuet Bertrand Stofleth. Présentationdu projet de l'ObservatoirePhotographique du libre - Tout PublicDimanche 28 avril•Promenades avec lesartistes marcheurs-"Tout sauf Gaston Jaubert",départ 10h, de la gare SNCF etdépart 14h, de l'office de tourisme.Idem samedi-"Landmarks", départ 14h,parking du cimetière desManières. Idem samediTarif 2 €Inscription et renseignementsà l'office de Tourisme Tél. 04 90 56 27 60•"Une échappée duGR2013 paysages gustatifs“Le pique-nique point de vue,12h, abbaye de Saint CroixDéjeuner sur l'herbe accompagnéd'expériences, d'observationset de découvertes gustativesdes plantes sauvages. Les chefsassociés François-XavierVincent et Christian ceux qui le souhaitentpossibilité d'effectuer desbalades, trois au précisé lors del' 15 € pique nique et renseignements à l'Office de TourismeTél. 04 90 56 27 60•Échelle 1 "Feuilletoncartographique“, départ de la13h, de la gare intitulé "La Carte quicoule" et imaginé par GuillaumeMonsaingeon et Thierry Kressmannavec Jean-Luc Brisson, vivre dans un cadrebucolique, au carrefour deseaux, une après-midi qui révèleau travers de performancesartistiques, comment le territoires'est développé. À l'intérieurd'une structure géante, sontdévoilés au public les secretsd'une de l'animation Public. Tarif 2 €.Inscription à l'office de tourisme Tél. 04 90 56 27 60Informations GR2013sur internet •Le Topoguide GR2013 estdisponible dans tous les pointsde vente habituels et sur tout le tracé duGR2013 aux balades et auxanimations consulter le programmecomplet-Site de la ville du l'office de tourisme
Lhomme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. La pensée du jour | Tue Aug 13 2019. Public Domain. Saint Luc. Le coin prière . La fête du jour. Prière pour ce matin. Méditation de
La rédaction d'Aleteia Le ciel sourit, les anges se réjouissent, le monde exulte, quand on récite le Je vous Salue Marie »
Lhomme ne vit pas seulement de SUV mais aussi de voitures de sport qui font encore battre le cœur plus vite. Même si la direction prise par le marché semble se diriger vers le premier. Il le sait bien aussi Alfa Romeo qui connaîtra une année 2022 particulièrement importante, avec de grandes attentes pour une
Par HABIB TENGOUR Pourquoi la littérature ? Pour vous, pour la société, pour les humains ? Pour qui ou quoi un écrivain écrit-il ? Questions que l’on pose toujours aux écrivains ! Questions auxquelles les écrivains n’ont pas toujours une réponse satisfaisante. Au fond, la réponse de Beckett, dans son laconisme, résume bien ce qui motive un écrivain à écrire, il n’est bon qu’à cela. Et c’est tant mieux. L’écriture est une nécessité à laquelle l’écrivain ne saurait se soustraire. N’est écrivain que celui qui se soumet à cette nécessité. C’est là un truisme. Souvent, quand l’écrivain sort de son domaine pour s’investir ailleurs on l’y incite souvent et lui-même parfois le désire, titillé par de mauvais démons, le résultat est catastrophique, quand bien même il est encensé pour cet engagement. Cela ne veut pas dire que je défends l’écrivain retiré dans sa tour d’ivoire. L’art pour l’art n’a pas plus de sens que l’art reflet du social. Finalité sans fin, l’art se suffit à lui-même, exigeant de l’artiste une servitude volontaire. Je pourrais m’arrêter là , mais je ne voudrais pas frustrer le lecteur de votre journal. Et, puisque les questions sont posées, il faut bien y répondre franchement. Il s’agit bien sûr de ma réponse ; je ne saurais dire ce qu’il en est pour les autres écrivains, pour la société ou pour les humains. Une réponse personnelle qui ne se prétend pas à une vérité indéniable. Pourquoi la littérature ? C’est que l’homme ne vit pas seulement de pain… La littérature, pas dans le sens péjoratif d’artifice et tout le reste est littérature, est à la fois nourriture terrestre et céleste. Loin d’être un supplément d’âme, la littérature, quand je parle de littérature j’entends par là la poésie elle se trouve aussi dans le roman, dans le théâtre, dans l’essai…, est l’âme même du monde. C’est un peu grandiloquent, c’est comme cela, je le pense toutefois. La poésie est pour moi ce qui fonde l’être, ce qui l’assure dans son existence et l’ouvre à l’inconnu, non pas en le lui dévoilant, mais en le lui faisant pressentir tout en demeurant inconnu. Elle lui permet de goûter à la beauté et d’en être ébloui et métamorphosé. Grâce à la poésie, l’homme communie avec le reste des humains, découvre toutes les ressources de son humanité et accède peut-être aux mystères de la divinité. Ce n’est pas un hasard si les mystiques de toutes les religions, et particulièrement dans le taçawwuf, ont exprimé leur extase dans des poèmes qui nous bouleversent encore aujourd’hui. Nous avons besoin de la littérature pour vivre en harmonie avec le monde et nous retrouver en communion avec les autres. La littérature est le trait d’union qui nous permet de nous orienter. Maintenant pour qui et pour quoi écrire ? Cela dépend bien sûr de ce que l’on écrit et du moment de l’écriture. Tout écrivain a en tête un lecteur idéal, celui que Baudelaire admoneste Hypocrite lecteur – mon semblable –, mon frère ! En ce qui me concerne, certains de mes textes sont destinés à des personnes précises, mais la plupart s’adressent au lecteur inconnu amateur de poésie en espérant que ce frère soit animé d’intention pure. J’ai commencé à écrire pendant l’année 1962. J’étais au lycée, en troisième. Au programme de français, le romantisme. J’avais débuté par des saynètes satiriques sur mes camarades de classe. Un jeu ! Au printemps, avec la lecture de Lamartine, de Musset et du roman de Goëthe Les Souffrances du jeune Werther, je me suis mis à écrire des poèmes d’amour destinés à des copines de classe. Le jeu devenait plus sérieux, mais j’étais encore loin d’être pris au piège. C’est Victor Hugo qui m’inculqua le virus de l’écriture. La lecture de Victor Hugo en cette année-là – c’était le centième anniversaire de la publication des Misérables – me stupéfia complètement. J’ai dévoré tous les livres trouvés dans la bibliothèque municipale de Massy et celle du XIXe arrondissement de Paris ; j’ai acheté chez des bouquinistes Les Orientales, Les Odes et Ballades, Notre Dame de Paris, La Légende des siècles, Les Contemplations… Mustapha Kaïd m’avait offert Les Châtiments avec La Mère de Gorki et Le Matin des villageois de Tchao Chou Li pour ma réussite au BEPC. Je lisais beaucoup en même temps que j’écrivais. Ainsi allait se referma le piège des Temps Modernes sur mes frêles racines Kateb Yacine. Comme Victor Hugo, je voulais tout faire, du théâtre, du roman, de la poésie. Être l’écrivain témoin de son temps, porté par son peuple et porteur d’une parole inouïe, expression d’un moi et d’une conscience collective. L’indépendance me donnait des ailes. Le rêve de produire un chant qui magnifie les souffrances endurées durant la colonisation. Ambition naïve ! Inconscience de jeunesse ! Peut-être fallait-il cette inconscience pour oser s’affronter à l’écriture… Avec l’été 1962 et les luttes fratricides pour la prise du pouvoir dans le pays, je lisais Guerre et Paix de Tolstoï, je perdis mes illusions dans une Algérie libre et démocratique. Pourtant, je continuais à espérer dans un avenir plein de promesses… Paradoxalement, c’est en lisant Les Orientales d’Hugo que je retrouvais les mu’allaqât entendues dans mon enfance. Avec Le Voyage en Orient de Nerval, Les Paradis artificiels de Baudelaire, d’autres images me remontaient en mémoire… Deux années plus tard, en 1964, la lecture de Gens de Dublin de Joyce allait me désorienter complètement et me faire réviser ma conception de l’écriture. Abandonner une ambition démesurée pour s’engager dans une autre tout aussi périlleuse. Pour qui et pour quoi écrire devenaient des questions oiseuses, inutiles ; seul comptait le fait d’écrire et d’explorer méthodiquement et sans complaisance toutes les arcanes de l’écriture. La langue d’écriture n’était plus un problème malgré les injonctions du pouvoir politique à n’écrire que dans “la langue nationale”. Je comprenais peu à peu qu’un écrivain n’écrit jamais dans sa langue maternelle ou nationale mais dans une langue étrangère qu’il traduit dans son étude pour en faire sa propre langue, trouver sa formule. La langue nationale est langue de l’information, de la paperasse administrative, du discours politique, alors que la langue littéraire est toujours langue étrangère apprivoisée par un auteur pour la rendre audible au public qui veut bien l’entendre. Que de faux problèmes et de déboires subis par ma génération à cause de cette question linguistique ! Je comprenais aussi combien la traduction des littératures “étrangères” est indispensable pour partager ensemble les œuvres de tout temps et de partout dans le monde, car la littérature appartient à ses lecteurs. La traduction permet aussi à chaque auteur de remettre ses pendules à l’heure. Pour se confronter au travail d’écriture, ne pas hésiter à prendre exemple sur des devanciers prestigieux, à s’attacher aux grands auteurs classiques de la littérature universelle, sans oublier les nôtres, Kateb, Dib, Feraoun, Mammeri, Sénac, Amrouche et tant d’autres qui nous ont ouvert la voie de l’écriture. Il y a aussi les contemporains avec qui on partage l’air du temps. En vérité, on n’écrit jamais seul bien que tout seul devant sa feuille blanche. Ne pas en tenir compte, c’est se fourvoyer… Écrivant depuis tant d’années, j’ai fini par accepter ce que me répétait tout le temps Abdallah Benanteur l’artiste est au service de son art, il n’a pas à s’en servir pour son propre compte. Il n’a rien à demander ni à se préoccuper de la réception de son travail, seulement à faire du mieux qu’il peut. À s’y atteler modestement, chaque jour, sans relâche. Servir humblement l’écriture au lieu de l’utiliser à d’autres fins me semble aujourd’hui la seule façon de mener à bien une œuvre littéraire de qualité. Toute injonction extérieure à la nécessité intérieure d’écrire ne peut que dévoyer le résultat. En tout cas, cette posture me permet de mener tranquillement mon travail.
susévite de revendiquer le fait qu’il est bel et bien « Fils de Dieu ». Il lui rappelle l’importance de la Parole de Dieu. C’est même la première citation qu’il fait de la Bible, de l’Ancien Tes-tament : « L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute pa-role qui sort de la bouche de Dieu. » Cela veut dire que, lorsqu’on
Uniquement par téléphone au 04 75 90 20 59 Présentation Nul n'est prophète en son pays », Semer la zizanie », L'homme ne vit pas que de pain », Porter au pinacle », Rendre à César », etc. comme monsieur Jourdain faisait de la prose, nous citons les Evangiles sans le savoir. En presque 2000 ans d'histoire du christianisme, ces textes ont imprégné notre culture on y trouve de multiples aphorismes et sentences qui sont devenus des expressions courantes. Ces paroles vives, voire provocatrices, qu'on attribue pour la plupart à Jésus, se sont banalisées, et leur sens religieux est aujourd'hui imperceptible. En honnête homme amoureux des textes bibliques, Denis Moreau a choisi une centaine de ces locutions et leur redonne leur saveur première. Restituant le contexte où elles ont été prononcées selon un ordre qui rend compte du récit évangélique, il explique leur sens et leur portée, et retrace, non sans humour, les multiples échos quelles ont trouvés au cours des siècles. Une façon à la fois distrayante et profonde de redécouvrir les Évangiles sous un jour inattendu, ou de s'y initier. Appréciations 0 Il n'y a pas encore d'appréciations pour cet article.
Jésuslui répondit: Il est écrit: L'Homme ne vivra pas de pain seulement. Romains 15:4 Or, tout ce qui a été écrit d'avance l'a été pour notre instruction, afin que, par la patience, et par la
Il a aussi besoin de livres On trouve cette expression à plusieurs reprises dans l'Ancien Testament et dans les Évangiles qui y ajoutent "mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu". Pour qu'on ne m'accuse pas de conversion soudaine après avoir professé à multiples reprises mon athéisme, je précise que c'est aussi le titre d'un livre de Vladimir Doudintsev, écrivain russe Ukrainien, publié en 1956, après la mort de Staline. Cette phrase est souvent employée aussi pour souligner l'importance de la culture dans les sociétés humaines et pour critiquer le simple matérialisme de ceux qui privilégient l'utilitarisme en toutes circonstances Passe ton bac d'abord. François Busnel est monté au créneau pour réclamer l'ouverture des librairies Le reconfinement imposé depuis hier par le gouvernement français remet cette expression au goût du jour avec la fermeture des librairies considérées comme des commerces non essentiels. Les maisons de la Presse pouvant rester ouvertes, ainsi que la FNAC et Amazon. Aussitôt, François Busnel, animateur de l'émission La Grande Librairie le mercredi sur France 5, décide de lancer une pétition avec des écrivains et diverses personnalités. En même temps on apprenait que, finalement, la FNAC fermait son rayon livres par solidarité ou par crainte ? L'embêtant, c'est que la pétition est introuvable sur internet où l'on peut lire "Cette pétition n'est pas disponible soit l'auteur l'a supprimée, soit la pétition a violé notre règlement, soit le lien est erroné". Les candidats signataires solidaires des libraires n'ont qu'une voie de recours, celle de bombarder le préfet et/ou le Ministère de la Culture de messages de protestation. Pourquoi une Maison de la Presse peut-elle rester ouverte et pas une librairie ? Donc ces messieurs du gouvernement considèrent les librairies comme non essentielles ! Au moment où nous allons être obligés de montrer un "ausweis" pour circuler dans les rues de nos villes et villages il ne nous sera pas possible d'acheter un livre pour nous consoler de notre confinement dans notre "haus". Gannatois, je pourrai acheter un livre à la Maison de la Presse qui dispose d'un rayon bien fourni mais le villageois de Saulzet ou de Biozat ne le pourra pas car il ne devra pas dépasser 1km autour de son logis SAUF pour se procurer dans l'un des 5 supermarchés de Gannat des produits essentiels comme le PQ ou l'eau de Javel !!! ceci dans l'absolu, car n'importe quel gros malin amateur de livres en profitera pour passer à la Maison de la Presse. Quant à moi qui ai commandé des livres à ma libraire vichyssoise préférée, je devrai vivre sur mes réserves qui sont grandes fort heureusement jusqu'à la Saint Glinglin. Ma librairie préférée, 2 Boulevard Carnot, à Vichy Quid d'Amazon et de ses clients dont je ne fais pas partie ? Eh bien, cette grande entreprise privée pourra continuer de profiter du service public de la poste pour distribuer les livres commandés par Internet à de nouveaux clients dont beaucoup ne retourneront pas dans les librairies quand celles-ci seront à nouveau ouvertes… à la Saint Glinglin. Nombre d'entre elles, déjà fragilisées par la concurrence déloyale des grandes enseignes malgré le Prix Unique du Livre, fermeront définitivement leurs portes. Quant à Amazon qui ne paie pas ses impôts correctement, elle continuera de prospérer sur les ruines du petit commerce culturel. Et quand celui-ci aura complètement disparu, ce sera le tour des éditeurs et des écrivains indépendants. La Culture Officielle Amazoniste aura triomphé. Des livres mais aussi le mode d'emploi des livres dès l'enfance Quid des bibliothèques municipales ? Service minimum, fonctionnement normal ou fermeture complète ? À Gannat, ce service public qui fonctionne à la satisfaction générale ne se contente pas de mettre gratuitement à la disposition du public adulte et scolaire des livres de toutes sortes, il l'accompagne grâce à des animations, des expositions, des conférences. C'est un véritable lieu d'échanges culturels. Mais que deviendrait-il si les librairies indépendantes puis l'ensemble du système éditorial tombait sous la coupe du géant américain ? C'est bien un véritable et vital enjeu culturel qui se joue en ce moment avec la fermeture des librairies. Le Pouvoir ne brûle pas pas encore les livres comme dans Fahrenheit 451, il se contente d'étouffer les libraires ! On y trouve même des romanciers amateurs !
Évangilede Jésus Christ selon saint Jean (Jn 13, 1-15)Avant la fête de la Pâque,sachant que l’heure était venue pour luide passer de ce monde à son Père,Jé
Animations Théâtre Conférences JeunesseJeunesseForum "Bouger en Europe"De 13h30 à 18h30Galerie de l'AtriumEurocircle, ADCEI, AFIJ, CEIS,Mission Locale du Pays Salonais,Centre Euroguidance, IUT deMarseille, offres et entretiensindividualisés, et témoignagesde jeunes partis vivre uneexpérience à l' libreTél. 04 90 45 03 Bulles de Salon"14h30Kiosque à musique,Vincent ScottoDépart du kiosque à musiqueet arrivée au château de l'Emperipour un spectacle. En casd'intempérie, repli prévu à l'espace Trenet. Org la universde Monsieur Dahl"15hThéâtre municipal ArmandTarif de 13 € à 4 €Tél. 04 90 56 00 82Réduction avec le PASSavantages Office de 04 90 56 27 60Vous avez entre 16 et 30 ansbouger en Europe c'est possible !La 5 ème édition du forum"Bouger en Europe" organisépar les Espace Citoyens et de laCréation vous aidera à concrétiservos projets volontariat,stages, échanges européen,études. Au programme standsd'informations, rencontres avecdes spécialistes de la mobilitéinternationale Pistes Solidaires,26Spectacles Sports Concerts DiversJeudi 11 avrilThéâtreOuverture de la billetterie"Georges Dandin &la jalousie de Barbouille"9hThéâtre municipal ArmandDate du spectacle le 30 avrilTél. 04 90 56 00 82DiversPetit Déj' psyDe 9h à 12hPôle de proximité la RucheAvec une psychologue "accompagner son adolescentdans ses relations place pour le parent ?"Org Salon Action et le Centred'Animation du Vieux libreTél. 04 90 53 14 6906 76 84 49 faire paraître vos événements,envoyer un courriel avant le 10 dumois précédant la manifestation 813-2013,du tombeau au chemin"18h30 - AuditoriumAnimée par Denise Péricar-Méadocteur en Amis de Saint Jacques deCompostelle en 04 90 50 48 / Débat19hLa Case à PalabresTourisme solidaire au continuer les échanges,repas chilien payant à 20h30réservation obligatoireEntrée 3,50 €Tél. 04 90 56 43 21DiversBookcrossing20hLa Case à PalabresDes livres "en liberté", vousattendent à la Case à libreTél. 04 90 56 43 2013"Les Écrans Voyageurs"De 19h à 22h30Cinéma les ArcadesProgramme 19h30, court métrage réalisépar les élèves des classes cinémadu lycée Adam de Craponne -21h "Rumba", en présence deses réalisateurs. Org cinémasLes Arcades & Le Club.Voir détails page 11Entrée 5 €,4 €, tarif 04 90 53 65 0627
mQtQX. x25eveed7z.pages.dev/245x25eveed7z.pages.dev/156x25eveed7z.pages.dev/387x25eveed7z.pages.dev/377x25eveed7z.pages.dev/272x25eveed7z.pages.dev/124x25eveed7z.pages.dev/131x25eveed7z.pages.dev/375x25eveed7z.pages.dev/73
l homme ne vit pas seulement de pain