Lapomme tombe La pomme d’Isaac Newton sur la Terre, car elle est soumise Ă  une force, la force de gravitĂ© Mais alors, pourquoi la Lune ne tombe-t-elle pas? La naissance de l’idĂ©e d’attraction universelle a pris la forme d’une petite histoire, sans doute une fable, mais sait-on jamais Dans la douceur d’une soirĂ©e
S'il est bien une rĂ©volution de la physique qui est enseignĂ©e Ă  nos lycĂ©ens, c'est bien cette vision qu'a eu I. Newton un matin de 1666-1667, ce n'est pas trĂšs qu'il sĂ©journe Ă  la campagne, loin de Londres et ses Ă©pidĂ©mies de peste et grippe, la lĂ©gende raconte qu'assoupi Ă  l'ombre d'un pommier le jeune scientifique reçoit sur sa tĂȘte une pomme tombe par terre, ce n'est pas nouveau. Mais Ă  ce moment lĂ , I. Newton a l'idĂ©e d'identifier la coupable la gravitation comme Ă©tant Ă©galement celle qui est responsable du mouvement de la Lune autour de la alors expliquer que la Lune ne tombe pas sur la Terre alors que la pomme tombe ? Comment expliquer que la Lune tourne autour de la Terre et pas la pomme dĂšs lors qu'elle n'est plus solidaire de son pommier natal ?Tout est une question de vitesse initiale. En fait, la Lune tombe comme la pomme, mais comme elle avait au dĂ©part une certaine vitesse, son Ă©lan compense l'attraction par la Terre, ce que le schĂ©ma ci-dessous rĂ©sulte en une trajectoire circulaire en premiĂšre approximation, en fait c'est un poil plus complexe de la Lune autour de la pomme, au moment oĂč elle se dĂ©solidarise de son pommier, n'a aucune vitesse initiale, aucun Ă©lan initial l'empĂȘchant de nous prenons une pomme sur le sol et que nous la lançons parallĂšlement au sol Ă  une vitesse de km/s appelĂ©e premiĂšre vitesse cosmique alors elle se satellisera autour de la Terre, en rasant le sol Ă  chaque instant ce en nĂ©gligeant les effets des frottements de l'air qui ralentissent en fait la pomme.Pourquoi la Lune avait une vitesse initiale est un autre dĂ©bat. Remarquez aussi que ceci s'applique au mouvement de la Terre autour du Soleil. La Terre tourne autour du Soleil car initialement elle avait une vitesse initiale tangente Ă  sa trajectoire, un Ă©lan initial, mais elle n'a pas poursuivis la direction que son Ă©lan initial lui destinait, Ă©tant Ă  chaque instant attirĂ©e par le Soleil. Notez enfin que l'absence de frottements dans l'espace oĂč rĂšgne un quasi-vide fait que l'Ă©lan initial donnĂ© il y a des milliards d'annĂ©es aux planĂštes est encore prĂ©sent aujourd'hui quasi-inchangĂ©.
LaLune ne tombe pas vers la Terre en ce moment parce que la Terre tourne d'elle-mĂȘme. L'Ă©nergie de la propre rotation de la Terre autour de son axe est progressivement transfĂ©rĂ©e en Ă©nergie du mouvement orbital de la Lune. C'est pourquoi la vitesse de rotation de la Terre diminue mais la distance Ă  la Lune augmente.
Loi de gravitation universelle Newton 1687 Mise en Ă©vidence de l’attraction universelle Newton est assis sous un pommier, la nuit va tomber et la pleine Lune est dĂ©jĂ  levĂ©e. Une pomme tombe, il se demande Pourquoi la pomme tombe, alors que la Lune ne tombe pas ? Newton expliqua le chute des corps sur la Terre, le mouvement de la Lune autour de la Terre et le mouvement des planĂštes du systĂšme solaire autour du Soleil comme le rĂ©sultat d’un mĂȘme phĂ©nomĂšne. C-Ă -d , par l’attraction universelle. La gravitation universelle est une des interactions responsable de la cohĂ©sion de l’univers. Elle est prĂ©dominante Ă  l’échelle astronomique. C’est elle qui explique la cohĂ©sion et la structure du systĂšme solaire. Elle est la cause du mouvement des planĂštes et de leurs satellites. A cause de leurs masses, les corps exercent, les uns sur les autres des forces attractives mutuelles. Deux corps ponctuels A et B, de masses respectivement mA et mB, sĂ©parĂ©s par une distance d = AB, exercent l’un sur l’autre des forces d’interactions gravitationnelles attractives FA/B et FB/A ayant mĂȘme droite d’action ABdes sens opposĂ©s Vers le corps qui exerce la forcemĂȘme intensitĂ© Cette loi est aussi valable pour des corps volumineux prĂ©sentant une rĂ©partition sphĂ©rique de masse mĂȘme rĂ©partition de masse autour du centre de l’objet. C’est le cas des planĂštes et des Ă©toiles, dont la distance d est celle qui sĂ©pare leurs centres. Pour un corps ponctuel A de masse mA Ă  l’altitude h par rapport Ă  la surface de la Terre, on a Avec MT = 6. 1024kg, la masse de la Terre et RT = 6380 km son Rayon. L’expression de l’intensitĂ© de la force d’attraction gravitationnelle reste valable pour deux corps quelconques, tel que d est la distance sĂ©parant leurs centres de gravitĂ© respectifs. Cette loi fut Ă©noncĂ©e par Isaac Newton pour deux corps ponctuels, c’est-Ă -dire dont les dimensions sont trĂšs petites par rapport Ă  la distance qui les sĂ©pare. En pratique, on considĂšrera un corps comme ponctuel si taille objet ≀ distance d’observation / 100 Poids d’un corps DĂ©finition Le poids P d’un corps S de masse m est la force d’attraction universelle qu’il subit lorsqu’il est situĂ© au voisinage de la Terre, appliquĂ©e par la Terre sur lui. L’intensitĂ© du poids est CaractĂ©ristiques du poids Les caractĂ©ristiques du poids d’un corps S sont Points d’application Le centre de gravitĂ© G du corps Direction La verticaleSens De haut en bas DirigĂ© vers le centre de la terreIntensitĂ© Valeur P = avec g s’appelle intensitĂ© du champ pesanteur, s’exprime en Navigation de l’article
Sansla Terre, la lune serait donc une sorte d’astĂ©roĂŻde qui parcourrait l’espace Ă  grande vitesse. On peut donc effectivement dire que la lune tombe sur Terre, mais cette attraction est contrebalancĂ©e Ă  chaque instant par la vitesse du satellite vers l’extĂ©rieur 1. Forums des ZĂ©ros Une question ? Pas de panique, on va vous aider ! Accueil > Forum > Sciences > Physique > Pourquoi la Lune ne nous tombe pas sur la tĂȘte? Liste des forums Ce sujet est fermĂ©. Pourquoi la Lune ne nous tombe pas sur la tĂȘte? 14 avril 2016 Ă  163024 Bonjour, Ok, c'est surement une question con posĂ©e comme ça c'est vrai.. mais j'aimerais juste savoir comment la Lune reste en orbite par rapport Ă  la Terre Pareil pour la Terre et le soleil.. par exemple Cela dĂ©pend bien de la masse et de la vitesse de la Lune le fait qu'elle reste en orbite par rapport Ă  la Terre? La Lune est attirĂ© vers la Terre car sa vitesse est assez faible pour ne pas s'Ă©chapper de l'attraction Terrestre, mais d'un autre cotĂ©, elle est assez forte pour "louper" la terre et ainsi tourner autour.. Mais alors comme la Lune connais t'elle la masse et la vitesse de la Terre pour rester Ă  distance plus ou moins constante..? Le simple fait de diminuer la vitesse de la lune, ou augmenter, ne ferais t'il pas en sorte de la faire quitter de son orbite ou au contraire la faire s'Ă©craser? Alors c'est du pur hasard? Ou la Lune c'est tout simplement "adaptĂ©" Ă  la Terre..? C'est surement une question bizarre, mais je ne vois pas comment tout simplement.. Merci bien 14 avril 2016 Ă  170536 Bonjour, Cette question n'est pas si con que ça, beaucoup savent que la Lune ne tombera pas sur la Terre ou alors dans trĂšs trĂšs longtemps mais peu savent pourquoi. Tu as tout Ă  fait raison quand tu parles de vitesse et de masse. C'est en rĂ©alitĂ© grĂące Ă  cette vitesse et cette masse que le couple Terre - Lune fonctionne si bien. Et tu as Ă©galement raison quand tu dis que si l'on change le rapport de force gravitationnelle entre ces deux masses modification de la vitesse ou de la masse alors la lune pourrait trĂšs bien ne plus tourner autour de la Terre ou venir s'y Ă©craser. Je ne dirais pas que c'est du hasard, mais dans la nature tout est question d'Ă©quilibre. 1 = 1. Sinon, c'est le chaos. Donc Ă  partir du moment oĂč tes forces s'Ă©quilibrent, tout fonctionne. C'est le cas de la Lune vis-Ă -vis de la Terre. J'ignore si c'Ă©tait la rĂ©ponse que tu attendais. 14 avril 2016 Ă  175249 Dans un problĂšme dit deux corps , par exemple le cas de la terre autour du soleil lorsque on nĂ©glige l'influence des autres astres en premiĂšre approximation , l'Ă©quation de l'orbite est entiĂšrement dĂ©terminĂ©e si tu connais la position initiale et le vecteur vitesse initiale selon les lois de Kepler, avec, selon ces conditions, une trajectoire fermĂ©e elliptique ou une trajectoire oĂč l'objet part "Ă  l'infini" aprĂšs ĂȘtre passĂ© Ă  une distance minimale. Selon ces conditions initiales , la trajectoire peut ĂȘtre Ă©ventuellement telle que cette distance minimale est infĂ©rieure au rayon du centre attracteur, auquel cas il y a collision ce que tu appelles la lune "tombant sur la terre... de façon gĂ©nĂ©rale tout objet dans le champ d'un centre attracteur peut tomber dessus si les conditions initiales l'impliquent En fait,prĂ©cisons que le cas de la Lune est plus compliquĂ©e qu'un problĂšme 2 corps de Kepler que l'on peut utiliser avec une bonne approximation pour estimer correctement la trajectoire de la Terre au moins dans une prĂ©vision Ă  court terme. Le problĂšme de la Lune est , mĂȘme en premiĂšre approximation, un vĂ©ritable problĂšme trois corps car l'influence de la Terre et du Soleil sont du mĂȘme ordre de grandeur le Soleil compense son Ă©loignement par une masse considĂ©rablement supĂ©rieure Ă  celle de la Terre . Le calcul des Ă©phĂ©mĂ©rides lunaires est donc assez compliquĂ©, mĂȘme en ne cherchant qu'une prĂ©vision Ă  assez court terme. MalgrĂ© cette complexification, la Lune a pu trouver une trajectoire certes plus compliquĂ©e mais stable , ... et donc peu de risque de chute dans un avenir prĂ©visible. NB La Lune a mĂȘme plutĂŽt tendance Ă  s'Ă©loigner de la Terre pour d'autres raisons, liĂ©es Ă  la conservation du moment cinĂ©tique global du systĂšme Terre -Lune. La vitesse moyenne d'Ă©loignement est de l'ordre de 4 cm par an ce qui parait peu ...mais si on multiplie par des durĂ©es Ă  l'Ă©chelle astronomique, on se rend compte que ce n'est pas du tout nĂ©gligeable L'universalitĂ© de la gravitation Ă  l'Ă©chelle de l'univers fait que, Ă  toutes les Ă©chelles, tout tourne autour de quelque chose satellites/ planĂštes, planĂštes, comĂštes, astĂ©roĂŻdes / Ă©toiles, Ă©toiles / centre des galaxies, mouvement relatif des galaxies .... et que il y a, statistiquement, toujours dans l'univers quelque chose qui tombe sur quelque chose, depuis les mĂ©tĂ©orites plus ou moins gros sur Terre jusqu'au collision entre Galaxies !. Evidemment les chocs entre corps Ă©normes sont rares Ă  notre Ă©chelle de temps mais par exemple un des scĂ©narios sur l'origine de la Lune il n'y a pas encore consensus sur la question , ... est celle d'une collision titanesque de la Terre avec un objet de la taille d'une petite planĂšte . -EditĂ© par Sennacherib 14 avril 2016 Ă  180409 tout ce qui est simple est faux, tout ce qui est compliquĂ© est inutilisable 14 avril 2016 Ă  195130 Merci pour vos rĂ©ponses ReveRofNori je vois se que tu veux dire, mais quand tu dis que "1=1", je ne pense pas que c'est une rĂ©gle qui est gĂ©nĂ©rale Ă  l'univers entier D'ailleurs tu le dis bien dans ton explication sinon il n'y aurais aucune collision dans l'Ă©space, mais la vĂ©ritable question c'est pas "pourquoi la Lune ne tombe pas sur la Terre?" mais plutĂŽt "Comment la Lune Ă  Acquis les paramĂ©tres exacte de vitesses pour tourner autour de la Terre?".. Je ne pense pas qu'une collision avec une autre planĂšte va crĂ©er un corp exactement Ă  la masse et Ă  la vitesse qu'il faut pour rester dans une orbite parfait ou du moins presque parfait Et c'est ça que je ne comprends pas, dans toutes les revus scientifiques et explications, ils parlent effectivement d'une Lune qui Ă  une vitesse propre, qui lui permet de ne pas tomber, et en mĂȘme temps de ne pas s'Ă©chapper de l'attraction terrestre.. mais ils expliquent pas comment elle l'a acquise? Sennacherib, j'ai regardĂ© d'un peu plus prĂ©s la lois de Kepler, notamment sur les orbites elliptique, et si j'ai bien compris, la Lune peut "gagner" de la vitesse sans pour autant quitter l'orbite de la Terre et ainsi avoir sont orbite modifier et devenir une orbite elliptique? Cela voudrais dire qu'il y a un intervalle plus ou moins grand de vitesse et de masse Ă  respecter du satellite pour qu'il puisse tourner correctement en orbite parfaite ou elliptique? Dans ce cas la, la Lune pourrais gagner un peu plus de vitesse sans soucis ou en perdre, sans craindre qu'elle ne s'Ă©chappe de l'attraction terrestre ou qu'elle ne s'Ă©crase sur nous? Et puis mĂȘme si c'est le cas, comment as-t'elle trouvĂ© cette intervalle? A ce demander si elles ne communiquent pas leurs masse et leurs vitesse entre elles. Je ne sais pas si je me fais comprendre Et dĂ©solĂ© pour les fautes Merci beaucoup! 14 avril 2016 Ă  220708Nous ne connaissons pas avec certitude la façon exacte dont la Lune s'est formĂ©e. L'hypothĂšse la plus plausible est qu'une petite planĂšte nommĂ©e ThĂ©ia aurait percutĂ© la Terre alors que celle-ci Ă©tait encore jeune. Voir par exemple cette petite vidĂ©o. 14 avril 2016 Ă  223437 D'accord c'est vrai, mais peut importe si c'est avec la Lune ou pas, avec n'importe quel satellite en orbite autour de n'importe quel planĂšte ou Ă©toile, juste comment c'est possible? Merci 15 avril 2016 Ă  85228 Bonjour, En fait si je comprends bien ta "question", c'est pourquoi & comment un objet cĂ©leste fait-il pour se placer en orbite autour d'un autre objet cĂ©leste ? C'est ça ? 15 avril 2016 Ă  122950 Comment un objet se met en orbite, c'est le principe du canon de Newton. Une petite image Il faut donc une certaine vitesse pour compenser la gravitĂ©. Plus tu es loin, plus la gravitĂ© est faible, donc il te faut moins de vitesse. En fait, ça constitue un Ă©quilibre stable en premiĂšre approximation. Equilibre stable c'est par exemple un pendule. Quand tu l'Ă©loignes de sa position d'Ă©quilibre, il va chercher Ă  y revenir. Equilibre instable un stylo posĂ© verticalement sur la table. Il est en Ă©quilibre mais si tu le perturbes, il ne va pas revenir Ă  la verticale, il va tomber Pour un objet en orbite s'il accĂ©lĂšre, il va s'Ă©loigner force centrifuge > gravitation. Mais en s'Ă©loignant il va ralentir comme un objet lancĂ© en l'air, la gravitation le ralentit, donc il va retrouver un moment ou la gravitation compense de nouveau la force centrifuge. Pareil s'il ralentit il va commencer Ă  tomber, ça va l'accĂ©lĂ©rer donc lui redonner une force centrifuge nĂ©cessaire pour compenser la gravitation. Dans les deux cas, ils vont donc retrouver une autre orbite stable. Comment ça a commencĂ© si on prend l'hypothĂšse de la collision, la lune s'est formĂ©e Ă  partir de dĂ©bris de matiĂšre. Les dĂ©bris les plus rapides ont quittĂ© l'orbite, les plus lents se sont réécrasĂ©s sur Terre, et ceux qui avaient la bonne vitesse Ă  la bonne altitude se sont mis en orbite. Et ceux qui dĂ©viaient lĂšgĂ©rement de l'orbite ont percutĂ© d'autres dĂ©bris, se sont agglutinĂ©s, ont trouvĂ© une orbite stable grĂące au mĂ©canisme dĂ©crit au-dessus et ça a fini par former la lune. D'ailleurs le systĂšme solaire lui-mĂȘme s'est formĂ© ainsi, Ă  partir d'une nĂ©buleuse de poussiĂšres. En fait tu te demandes comment la lune a fait pour trouver sa vitesse et son altitude parfaite pour une mise en orbite. C'est juste que les dĂ©bris qui n'avaient pas cette orbite ont disparu retombĂ© sur terre ou expulsĂ©s dans l'espace. Donc forcĂ©ment tu ne vois que ceux qui ont trouvĂ© une orbite stable une sorte de thĂ©orie de l'Ă©volution D'ailleurs parmi les systĂšmes stables assez impressionnants, on peut citer les anneaux de saturne 15 avril 2016 Ă  135745 Je teremercie Hazdrubal, je comprends mieux, c'est exactement ce que je voulais savoir! Et non RevRofNori, enfin plus ou moins, juste comment c'etait possible en prenant en compte la vitesse, la masse et la distance d'une planĂšte qui pouvais ĂȘtre "alĂ©atoire" au moment de sa crĂ©ation, mais Hazdrubal l'as parfaitement expliquĂ©. Merci encore -EditĂ© par 238 15 avril 2016 Ă  135806 12 juin 2018 Ă  220709 est il normal sa presque un mois que l'on ne voit plus la lune 12 juin 2018 Ă  224701 Bonjour, Le message qui suit est une rĂ©ponse automatique activĂ©e par un membre de l'Ă©quipe. Les rĂ©ponses automatiques leur permettent d'Ă©viter d'avoir Ă  rĂ©pĂ©ter de nombreuses fois la mĂȘme chose, ce qui leur fait gagner du temps et leur permet de s'occuper des sujets qui mĂ©ritent plus d' sommes nĂ©anmoins ouverts et si vous avez une question ou une remarque, n'hĂ©sitez pas Ă  contacter la personne en question par Message plus d'informations, nous vous invitons Ă  lire les rĂšgles gĂ©nĂ©rales du forum DĂ©terrage Citation des rĂšgles gĂ©nĂ©rales du forum Avant de poster, demandez-vous si ce que vous allez dire apporte quelque chose au sujet. Si votre message n'apporte rien, vous ferez perdre du temps Ă  tout le monde et le sujet pourrait dĂ©vier ou devenir difficile Ă  suivre. Aussi, vĂ©rifiez la date du topic. 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Le premier phénomène physique auquel les êtres humains sont confrontés est celui de la gravitation. C’est le phénomène que le jeune enfant observe en laissant tomber, inlassablement, son gobelet du haut de sa chaise. Il ne suffit cependant pas d’observer pour pouvoir expliquer et le chemin de l’expérimentation à la théorie peut être long et difficile, car souvent l’intuition ne suffit pas. Aristote ~385 Ă  ~382 La cosmologie d’Aristote La première théorie visant à expliquer la chute des corps est due au philosophe grec Aristote. Pour celui-ci, l’univers est constitué de deux régions différentes subdivisées en sphères concentriques. Ce sont le monde sublunaire, qui s’étend du centre de la Terre à la sphère de la Lune, et le monde supra-lunaire, de la sphère de la Lune à celle des étoiles. Pour Aristote, les lois de la nature ne sont pas les mêmes dans ces deux régions. Le monde sublunaire est imparfait, le monde supra-lunaire est parfait et immuable. Le monde sublunaire Dans le monde sublunaire il y a deux sortes de mouvements la chute des corps, qu’Aristote qualifie de mouvement naturel, et le mouvement violent causé par une force extérieure comme le lancer d’un objet. Pour expliquer la chute des corps, Aristote semble avoir été inspiré par le mouvement des objets dans un liquide. En plaçant divers objets dans l’eau, on constate qu’il y en a qui flottent alors que d’autres coulent, certains plus rapidement que d’autres. En immergeant des objets, on remarque qu’une fois relâchés, les corps lourds restent au fond de l’eau alors que les plus légers remontent à la surface, certains plus rapidement que d’autres. Pour Aristote, la chute des corps dans l’air est un phénomène analogue qu’il explique en ayant recours aux quatre éléments d’Empédocle. Ces éléments sont, du plus léger au plus lourd, le feu, l’air, l’eau et la terre. Ces quatre éléments sont présents dans chaque corps mais en proportions différentes. Aristote explique que chaque corps tend à occuper la place naturelle de son élément dominant. Cette tendance est d’autant plus grande que la proportion de l’élément dominant est importante. Ainsi, plus un corps est lourd c’est-à-dire comporte une grande proportion de l’élément terre, plus il tombe rapidement car sa tendance à occuper son emplacement naturel est forte. Plus un corps comporte une grande proportion de l’élément feu, plus il s’élève rapidement. Cette propension est facile à constater lorsqu’on observe un feu on voit bien que les flammes s’élèvent et, tout corps contenant une forte proportion de cet élément fera de même. Dans cette région intérieure de l’univers, des perturbations interviennent souvent, mais lorsque la cause de ces perturbations prend fin le mouvement du corps est à nouveau régi par les lois naturelles. Par exemple, en lançant un objet dans les airs, on lui imprime un mouvement violent, contre nature. Lorsque la cause de ce mouvement violent prend fin, cet objet tend à reprendre sa place naturelle. Dans la conception aristotélicienne de la chute des corps, le vide n’est pas concevable. Comme dans l’eau, le mouvement requiert la présence de corps en interaction et la vitesse du mouvement dépend de la composition de ces corps. L’impossibilité du vide force donc Aristote à ajouter un cinquième élément à ceux d’Empédocle. Ce cinquième élément, appelé éther ou quintessence, est présent dans le monde supra-lunaire et comble l’espace entre les planètes et les étoiles. Le monde supra-lunaire La région la plus externe est le monde supra-lunaire, qui s’étend de la sphère de la Lune à la sphère des étoiles fixes. Dans cette région, les corps sont parfaits et immuables. D’un point de vue géométrique, la sphère est le corps le plus parfait. Les corps célestes sont donc sphériques et leur mouve- ment ne peut être décrit que par des sphères en rotation. La théorie d’Aristote sur le monde supra-lunaire s’inspire de la théorie d’Eudoxe pour expliquer le mouvement des planètes. Depuis longtemps, les savants avaient constaté que sept objets célestes se déplaçaient sur un fond d’étoiles fixes. Ces objets mobiles appelés planètes vagabonds en grec sont le Soleil et la Lune, ainsi que les planètes connues à l’époque Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne. À l’exception de Mars qui, parfois, semble ralentir et même se déplacer en sens inverse durant quelques semaines, on avait observé que les planètes se déplacent d’ouest en est. Eudoxe, né en ~408, a tenté d’expliquer ces phénomènes en proposant un modèle dans lequel la Terre est fixe et les planètes sont situées sur un ensemble de sphères transparentes, homocentriques et interreliées qui tournent à différentes vitesses constantes autour de la Terre. Quant aux étoiles, elles étaient fixées à la sphère la plus extérieure. La théorie d’Aristote sur la chute des corps présentait des failles majeures, mais en l’absence d’une meilleure explication du mouvement, elle fut adoptée pendant près de 2000 ans. GalilĂ©e 1564-1642 La chute des corps selon Galilée La théorie aristotélicienne du mouvement est une théorie spéculative », c’est-à-dire un ensemble d’hypothèses échafaudées à partir d’une observation superficielle et qui ne sont pas vérifiables expérimentalement. On doit à Galilée 1564-1642 la première démarche pour établir expérimentalement une description de la chute des corps. Plusieurs des objections soulevées à l’encontre du modèle héliocentrique de Nicolas Copernic 1473-1543 découlaient de l’incompatibilité de ce modèle et de la théorie du mouvement d’Aristote. Galilée a compris qu’il fallait développer une autre théorie du mouvement pour que le modèle héliocentrique puisse être adopté. Il montre d’abord, en adoptant un raisonnement par l’absurde, que l’explication d’Aristote n’est pas valide Si les corps lourds tombent plus vite que les corps légers, en attachant ensemble un corps léger et un corps lourd, le plus léger des deux ralentira le corps lourd et l’assemblage doit tomber moins vite que le plus lourd des deux corps. Cependant, une fois attachés ensemble, ils forment un nouveau corps plus lourd que le plus lourd des deux. Ce nouveau corps doit donc tomber plus vite que le plus lourd des deux. Ce qui est une contradiction. Par conséquent, tous les corps doivent tomber à la même vitesse. Du pendule à l’inertie Galilée s’est intéressé aux phénomènes que les aristotéliciens ne pouvaient expliquer à l’aide de leur théorie du mouvement, entre autres, le mouvement du pendule. Avec la théorie d’Aristote, il est facile de comprendre que le corps lourd suspendu au bout de la corde va descendre pour retrouver sa place naturelle. Une fois qu’il l’a atteinte, pourquoi remonte-t-il? Ne serait-il pas naturel qu’il demeure suspendu au point le plus bas de la trajectoire ? En étudiant le mouvement des pendules Galilée utilise divers montages dans lesquels le mouvement s’apparente à celui du pendule. En modifiant le dispositif, il constate que la bille remonte à peu près à la même hauteur d’où elle a été lancée, même en diminuant la pente et en allongeant le parcours de la remontée. La bille perd graduellement de la vitesse dans la remontée et, en l’absence de frottement, la hauteur atteinte devrait être exactement celle d’où la bille est partie. Que va-t-il se passer s’il n’y a pas de remontée et que la partie de droite du dispositif demeure horizontale? Par un passage à la limite, Galilée conclut que la bille devrait rouler indéfiniment à vitesse constante. Le mouvement continue donc sans qu’aucune force n’agisse pour le maintenir. Cette conclusion sera reprise par Isaac Newton qui en fit sa première loi du mouvement appelée principe d’inertie. Pour Aristote, l’état naturel d’un corps, c’est le repos et une force doit s’exercer pour qu’un objet puisse quitter cet état. Avec les expériences de Galilée sur les pendules, il faut abandonner cette idée. Le déplacement en mouvement rectiligne à vitesse constante ne nécessite pas l’intervention d’une force qui le maintiendrait en mouvement. Il n’y a plus de différence qualitative entre repos et mouvement. La chute des corps La chute d’un corps est trop rapide pour qu’il soit facile d’en prendre des mesures. Pour procéder à une étude quantitative de ce mouvement, il faut pouvoir le ralentir. Galilée s’est servi du plan incliné pour établir un lien entre le temps et la distance parcourue. Laissons-le relater l’expérience On utilise un plan incliné de 1 coudée1 environ, large d’une demi-coudée et épais de trois doigts, dans lequel a été creusé un canal parfaitement rectiligne d’une largeur à peine supérieure à un doigt, à l’intérieur duquel peut glisser une boule de bronze très dure, parfaitement arrondie et polie. Pour diminuer le frottement, on a garni le canal d’une feuille de parchemin bien lustrée. Intervalles de temps et distances Galilée mesure la distance que la bille parcourt dans un premier intervalle de temps et constate que durant le deuxième intervalle, elle parcourt trois fois cette longueur. Durant le troisième intervalle, elle parcourt cinq fois cette longueur. Durant le quatrième intervalle, elle parcourt sept fois cette longueur et ainsi de suite. Il considère les sommes partielles des distances parcourues. Après une unité de temps, une unité de distance. Après deux unités de temps, quatre unités de distance. Après trois unités de temps, neuf unités de distance. Après quatre unités de temps, seize unités de distance. Il constate alors que les distances parcourues par un corps en chute libre sont proportionnelles au carré des temps2, \[\frac{d_2}{d_1} = \frac{t_{2}^{2}}{t_{1}^{2}}.\] En écriture moderne, \d=ct^2.\ Composition des mouvements Galilée a aussi réalisé des expériences sur la composition des mouvements en installant un plan incliné sur une table. Ce plan incliné était muni d’un déflecteur, pour que le mouvement de la bille soit horizontal en quittant le bord de la table. Avec ce dispositif, en choisissant de quelle hauteur il laissait partir la bille, il contrôlait la vitesse horizontale de celle-ci lorsqu’elle quittait le déflecteur. En faisant l’hypothèse que la trajectoire de la bille est une parabole, il pouvait alors prévoir le point d’impact et calculer la différence entre la valeur théorique et la valeur expérimentale. La figure suivante est une reproduction de la page de notes prises au cours de cette expérience. Sur cette page, Galilée représente sur une verticale les hauteurs de départ de a bille. Il indique également la distance des points d’impact observé et les distances attendues ainsi que les différences entre ces valeurs. C’est la première fois dans l’histoire qu’un tel rapport d’expérience est fait. Les notes de Galilée indiquent qu’il voulait comparer les résultats expérimentaux et les valeurs prédites par un modèle. Il a donc calculé les différences entre les distances prédites par le modèle et les valeurs expérimentales. Pour s’assurer que la courbe géométrique qui décrit le mieux la trajectoire d’un projectile est la parabole, Galilée dispose successivement un plan horizontal à différentes hauteurs et il enregistre, pour chacune d’elles, les points d’impact avec la plus grande précision possible. La reproduction de ses notes est donnée dans l’illustration ci-dessus. Il donne la description suivante d’une autre de ses expériences pour confirmer la forme géométrique de la trajectoire. Je prends une bille de bronze parfaitement ronde et pas plus grande qu’une noix, et je la lance sur un miroir de métal, tenu non pas perpendiculairement, mais un peu incliné, de telle façon que la bille puisse rouler sur sa surface, et je la presse légèrement dans son mouvement elle laisse alors la trace d’une ligne parabolique très précise et très nette, plus large ou plus étroite selon que l’angle de projection sera plus ou moins élevé. Ce qui d’ailleurs constitue une expérience évidente et sensible sur la forme parabolique du mouvement des projectiles. Grâce à ces expériences, Galilée fut en mesure d’affirmer qu’un projectile est en chute libre durant toute la durée du mouvement. La trajectoire du projectile est déviée de la ligne droite. Cependant, les distances entre la ligne droite et la trajectoire sont dans le rapport des carrés des temps. Par la notion de composition des mouvements, Galilée a montré que les objections à l’héliocentrisme qui se basaient sur la théorie du mouvement d’Aristote n’étaient pas recevables. Il s’est alors intéressé à la lunette et à l’observation des étoiles, des planètes et de la voie lactée. Isaac Newton1643-1727 Les lois du mouvement La formulation actuelle du principe d’inertie est donnée par Newton qui en fait la première de ses trois lois du mouvement. Première loi du mouvement Tout corps au repos ou en mouvement rectiligne uniforme demeure au repos ou en mouvement rectiligne uniforme tant et aussi longtemps qu’aucune force n’agit sur ce corps. Deuxième loi du mouvement L’accélération communiquée à un corps par une force est directement propor- tionnelle à l’intensité de la force et inversement proportionnelle à la masse du corps. Troisième loi du mouvement Toute force d’action s’accompagne d’une force de réaction d’égale intensité et de sens contraire. De la pomme à la Lune Le problème des trajectoires circulaires des planètes avait déjà fait l’objet de recherches de la part de René Descartes 1596-1650 et de Christiaan Huygens 1629-1695. Ceux-ci cherchaient à expliquer ce type de mouvement en ayant recours à une force centripète, dirigée vers le centre de la trajectoire, et à une force centrifuge, qui tend à éloigner du centre le corps en orbite. Les premières réflexions de Newton sur l’orbite lunaire prenaient également en compte une force centrifuge. Sa démarche a pris une orientation définitive lorsque Robert Hooke 1635-1703, vers la fin de 1679, a suggéré à Newton une nouvelle façon d’interpréter le mouvement le long d’une trajectoire courbe. Hooke considérait qu’il fallait plutôt décomposer la trajectoire d’une planète selon une composante inertielle, dont la direction est tangente à la courbe de la trajectoire, et une composante centripète. En considérant une force dirigée vers le centre, cette approche reconnaît toute l’importance du corps central. De plus, s’il y a une force attractive entre le Soleil et les planètes, celle-ci doit exister entre deux corps composés de matière comme la Terre et la Lune. En parvenant à cette conclusion, Newton consacre le rejet du modèle aristotélicien d’un univers constitué d’un monde sublunaire et d’un monde supra-lunaire régis par des lois distinctes. En adoptant l’intuition de Hooke, la question à laquelle Newton devait trouver réponse est la suivant Pourquoi la Lune ne tombe-t-elle pas sur Terre comme le fait la pomme? Les travaux de Galilée sur la composition des mouvements à l’aide d’un plan incliné muni d’un déflecteur avaient permis de comprendre que la trajectoire d’un projectile peut être considéré comme la composition de deux mouvements. L’hypothèse de Hooke soulève une question Peut-on concilier la loi de la chute des corps de Galilée avec le fait que la Lune ne s’écrase pas sur Terre? Pour répondre à cette question, Newton donne l’exemple d’un boulet de canon. En tirant le boulet horizontalement d’une cer- taine hauteur, il suit une trajectoire parabolique mais prend le même temps pour toucher le sol que si on le laisse tomber à la verticale. Les mouvements, horizontal et vertical, se composent, le trajet parcouru est plus long, mais le temps nécessaire pour effectuer ce parcours est le même, il est indépendant de la vitesse initiale. Plus la vitesse initiale est importante, plus la distance parcourue par le boulet est grande. Puisque tous les corps tombent avec la même accélération, le temps requis pour tomber de cette hauteur est toujours le même indépendamment de la vitesse horizontale. Ce raisonnement est valide en considérant que la Terre est plate. Que se passe-t-il si on prend en compte la sphéricité de la Terre? Si la vitesse initiale est suffisamment grande, la Terre se dérobe sous le boule et le temps nécessaire pour toucher le sol n’est plus le même. Il augmente avec la vitesse initiale. En augmentant la vitesse initiale du boulet, le temps écoulé avant l’impact est plus grand à cause de la courbure de la Terre. Qu’advient-il si le boulet est tiré du sommet d’une haute montagne avec une vitesse très très grande? Dans un tel cas, la Terre se dérobe continuellement sous le boulet et celui-ci continue de tourner autour de la Terre. Newton en vient donc à la conclusion que la Lune, tout comme la pomme, tombe » vers la Terre. En considérant cette nouvelle approche, Newton a démontré les lois de Kepler sur le mouvement des planètes. Il restait une question à laquelle Newton n’a pas su répondre et qui a hanté les scientifiques de plusieurs générations. Comment la force d’attraction se transmet-elle entre deux corps qui ne sont pas en contact? Bernhard Riemann 1826-1866 Après avoir été initié par les mathématiciens Marcel Grossmann 1878-1936 et David Hilbert 1862-1943 aux travaux de Bernhard Riemann sur la géométrie des espaces courbes, Albert Einstein 1879-1955 a apporté une réponse à cette question en présentant sa théorie de relativité générale3. Einstein explique que la matière incurve l’espace-temps et cette courbure régit le déplacement des corps dans l’espace. PDF
Lagravité agit sur tout les corps. Ce qui fait que la Lune ne tombe pas, c'est qu'elle a une vitesse propre qui est suffisante pour se déplacer avant de s'écraser sur la

Puisque la Terre Ă  une gravitĂ© supĂ©rieure Ă  celle de la lune, elle devrait nous tomber dessus logiquement puisqu'elle est attirĂ©e. Peut-ĂȘtre qu'elle est dĂ©jĂ  en chute et qu'elle va bientot toucher la terre LIBEREZ LACRIM Car elle est en mouvement donc effet centrifuge Lacrim, tout va bien en prison ? Actuellement la Lune s'Ă©loigne progressivement de la Terre Elle flotte grĂące Ă  l'impulsion des pets des vaches qui montent jusque dans l'espace. Le 25 avril 2016 Ă  154918 WarWorld a Ă©crit La Lune n'existe c'est bien ce que je pensai J'ai lu que enfait le truc blanc qu'on voit dans le ciel la nuit c'est la face cachĂ© du soleil car comme on tourne autour du soleil, on voit ses diffĂ©rentes faces la nuit et le jour. 1/ la "gravitĂ©" de la terre n'est pas supĂ©rieur Ă  celle de la lune 2/ la lune tombe vers la terre ! 3/ un oiseau est attirĂ© vers la terre et pourtant ne tombe pas vers elle; d'autres forces sont en jeux. Dans le cas de la lune, sa rotation autour de la terre crĂ©er une "force" qu'on appelle force centrifuge et qui compense parfaitement la force d'attraction terrestre La vraie Terre mon ami Elle tombe constamment sur Terre mais ne l'atteint pas du fait de l'effet centrifuge Le 25 avril 2016 Ă  155919 WilsonFisk a Ă©crit La vraie Terre mon ami Non c'est pas possible sinon la terre serait instable et y'aurai pas de gravitĂ© Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?

ï»żLaviolence de l’impact devrait former un cratĂšre d’environ 19 mĂštres de diamĂštre. Mais le crash aura lieu sur la face cachĂ©e de la Lune, ce qui signifie qu’il ne sera pas visible depuis

Saviez-vous que sans la Lune, la vie telle qu'elle existe sur Terre serait impossible ? De par sa fonction stabilisatrice, elle garantit Ă  la Terre un ensoleillement suffisant. De par sa force de gravitation, elle provoque le mouvement des marĂ©es, qui a permis aux premiers organismes vivants de passer peu Ă  peu de l'eau Ă  la terre ferme. De par la rĂ©gularitĂ© de ses passages et des formes qu'elle prend dans le ciel, elle a permis Ă  l'homme d'acquĂ©rir la notion du histoire mĂ©connue de la Lune comme source de la vie sur Terre, c'est celle Ă  laquelle a choisi de s'attaquer en 2013 le rĂ©alisateur François de Riberolles. Avec Ă  la clĂ© un film unique, Ă  mi chemin entre le conte mythique et le documentaire scientifique, dont nous diffusons ici les premiers extraits exclusifs, avant sa diffusion, lundi 16 mars, quatre jours avant l'Ă©clipse, sur PlanĂšte +.Sang-mĂȘlĂ©Lune» dĂ©marre dans l'espace, lĂ  oĂč tout Ă  commencĂ© alors que l'Univers n'Ă©tait qu'un nourrisson et la Terre une protoplanĂšte. Par un beau jour de l'an 4,5 milliards avant un objet de la taille de Mars, nommĂ© Théïa est ainsi entrĂ© en collision avec la Terre, Ă  40 000 km/h. Le choc fut cataclysmique...et en lui-mĂȘme a tout d'abord eu une influence considĂ©rable sur la Terre, sur laquelle le film, consacrĂ© Ă  la Lune, ne revient pas en absorbant une partie de Théïa, la Terre a vu son noyau se renforcer, poussant la roche en fusion Ă  remonter vers la croĂ»te terrestre et mĂȘme Ă  la percer, crĂ©ant de gigantesques Ă©ruptions qui ont libĂ©rĂ© de nombreux gaz essentiels Ă  la constitution et au rĂ©chauffement de notre atmosphĂšre. Ensuite, l'absorbtion de Théïa par la Terre a Ă©galement augmentĂ© la gravitĂ© terrestre, pensent les scientifiques, ce qui a permis de mieux retenir les gaz dans notre atmosphĂšre. Et qui dit atmosphĂšre plus dense dit enveloppe protectrice contre les mĂ©tĂ©orites ...Mais la consĂ©quence principale de cette collision phĂ©nomĂ©nale est autre l'impact a en effet Ă©jectĂ© une Ă©norme quantitĂ© de matiĂšre - des morceaux de ThĂ©ia mais aussi du manteau terrestre - dans l'espace, ce qui a rapidement créé un anneau de dĂ©bris en orbite autour de la Terre. Au fur et Ă  mesure des annĂ©es, cet anneau de dĂ©bris s'est agrĂ©gĂ©, pour crĂ©er la Lune, comme le montre cet Extrait de Lune» l'impact initialCe satellite, qui Ă©tait donc Ă  ses dĂ©buts trĂšs proche de la Terre, a longtemps agi comme un bouclier contre les comĂštes et autres objets cĂ©lestes, notamment lors du grand bombardement tardif survenu il y a 4 milliards d'annĂ©es. Mais son influence sur la jeune planĂšte Terre ne s'arrĂȘte pas lĂ  on estime que la gravitĂ© exercĂ©e par la Lune a Ă©galement suscitĂ© beaucoup d'activitĂ© sismique sous la croĂ»te terrestre. Aujourd'hui, elle est trop loin pour provoquer la moindre Ă©ruption, mais elle continue de faire lentement bouger la croĂ»te terrestre... et les ocĂ©ans, crĂ©ant ainsi le va -et-vient des marĂ©es. Enfin, l'attraction que les deux corps subissent l'un sur l'autre permet de stabiliser la Terre, et de lui permettre l'ensoleillement nĂ©cessaire Ă  la vie. Sans le contre-poids» qu'est la Lune, la Terre serait beaucoup moins stable sur son axe, et tournerait de façon bien plus Lune, source de viePlongeons dĂ©sormais avec François de Riberolles dans les fonds sous-marins, la oĂč la vie est apparue, il y a plus d'1,3 milliards d'annĂ©es. Les premiers organismes unicellulaires sont en effet nĂ©s dans les ocĂ©ans malmenĂ©s par la Lune, qui, bien plus proche de la Terre qu'elle ne l'est aujourd'hui, soulevait Ă  l'Ă©poque des vagues gigantesques. Son Ă©loignement progressif, et la rĂ©gularitĂ© de ses passages dans le ciel, ont donnĂ© le tempo du dĂ©veloppement des tous premiers ĂȘtres vivants. Mais la Lune a fait plus que-ça, raconte le film, qui se fait documentaire animalier le temps d'une courte dĂ©monstration elle a permis au monde animal de coloniser la Terre ! Comme l'explique l'extrait-ci-dessous, le va et vient de la marĂ©e sur les plages a créé peu Ă  peu une zone de transition, sur laquelle ont commencĂ© Ă  se dĂ©velopper des animaux capables de vivre dans l'eau, mais Ă©galement Ă  l'air Extrait de Lune» le dĂ©veloppement des espĂšcesSuite Ă  ce petit coup de pouce lunaire, l'Ă©volution suivra son cours Ă  ces Ă©tranges crĂ©atures, succĂ©deront les insectes, les reptiles, puis les dinosaures, les mammifĂšres, et, il y a 4 millions d'annĂ©es, les premiers ancĂȘtres de l'homme. L'homme, qui comme l'explique le film de François de Riberolles, va s'aider de la Lune pour survivre dans l'obscuritĂ©, Ă  une Ă©poque oĂč les lions, chasseurs nocturnes, font la loi !VIDEO. Extrait de Lune». La naissance de la peur du noir»Durant toute son Ă©volution, l'homme a ainsi pu compter sur la Lune pour Ă©clairer ses nuits...et sa lanterne ! En plus d'aider la Terre Ă  devenir Terre, et de protĂ©ger le dĂ©veloppement de la vie, la Lune a en effet apportĂ© aux hommes les clĂ©s pour comprendre la nature qui l'entourait, pour donner un sens au chaos». Sa rĂ©surrection chaque nuit est devenu le premier signe identifiable du temps qui passe, et la rĂ©gularitĂ© de son cycle a permis Ă  l'homme de commencer Ă  compter...Lune», de François de Riberolles, produit par CamĂ©ra Lucida, une production originale de PlanĂšte +, qui la diffusera lundi 16 mars et vendredi 20 mars Ă  20h45

Cesmissions permettent de ramener sur Terre des roches lunaires qui, avec les observations effectuĂ©es sur place, permettent de dĂ©velopper la connaissance gĂ©ologique de la Lune, de sa structure interne et de lhistoire de sa formation. DĂ©laissĂ©e Ă  partir de 1974 par les puissances spatiales, lastre connaĂźt un nouvel intĂ©rĂȘt dans les annĂ©es 1990, deux missions de la NASA

Si elle est attirĂ©e par la Terre, pourquoi elle tombe pas? Elle tombe tout le temps sur la Terre Jean-Desco Car elle attire aussi la terre, de ce fait il s'agit de deux forces qui s'opposent. Parce que c'est un hologrameElle tomberait dans l'espace sinon Le 17 juin 2016 Ă  154942 haku2b a Ă©crit Car elle attire aussi la terre, de ce fait il s'agit de deux forces qui s' dans ce cas pourquoi nous on tombe pas sur la Lune ? Parce qu'on est pas dans Majora's Mask. Elle se dĂ©place tellement vite et vu que la terre se dĂ©place aussi au moment de chute elle la loupe et c'est ce qu'on appelle une orbite La Lune s'Ă©loigne de la Terre. Parce que la Terre tombe aussi dans le vide, Ă  la mĂȘme vitesse heureusement. Du coup la Lune ne fait que nous suivre. la lune n'existe pas , c'est une invention amĂ©ricaine , pour dire que ce sont eux qui sont aller premier sur la lunela lune que vous voyez est une Ă©norme image qu'on a mis dans le ciel Atlas la porte C'est des aimants quand tu met les 2 mĂȘmes pĂŽles face a face il se repousse bah la c'est pareil Elle tombe comme dons zelda mais plus lentement en fait genre 100000000 ans j'crois +1 vdd Parcontre y'a quelque chose qui va tomber dans la bouche de ta mĂšre ce soir ça surement un asteroid de bite l'auteur Le 17 juin 2016 Ă  155040 AssWeCan a Ă©crit Elle se dĂ©place tellement vite et vu que la terre se dĂ©place aussi au moment de chute elle la loupe et c'est ce qu'on appelle une orbite Donc ca fait 10 milliards d'annĂ©es que la Lune nous "rate" par chance, et on est censĂ©s gober ca ? Elle tombe et remonte dans le ciel tout le monde le sait Elle est tractĂ©e par la pyramide inversĂ©e qui lĂ©vite au dessus de la face cachĂ©e Point de Lagrange
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